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Jan 15

65ème café littéraire : Daniel TINTILLIER le 26 janvier aux « Gens de Mer » à Boulogne.

« Son regard bienveillant incite à le suivre aux quatre coins de Boulogne-sur-mer. Journaliste retraité, Daniel s’est toujours intéressé de très près à sa ville natale. De cet amour inconditionnel pour cette ville historique, sont nés 19 ouvrages qui éclairent le lecteur tantôt sur le nom des rues, tantôt sur l’histoire du cinéma boulonnais, ou sur les personnages célèbres dont les statues jalonnent les rues et les chemins de promenade. »

Ces quelques mots figurent sur le site du comité départemental du tourisme du Pas-de-Calais, sur la page dédiée aux greeters… dont Daniel Tintillier nous parlera probablement lors de ce premier café littéraire 2013. Daniel Tintillier et Boulogne, c’est une véritable histoire d’amour entre un homme et sa ville. Le dernier opus de l’auteur, consacré aux commerces boulonnais des  Trente Glorieuses est la dernière preuve de cette passion inconditionnelle. Feuilleter ce « Commerce boulonnais en images, tome II » risque de vous surprendre en flagrant délit de nostalgie… mais comme c’est agréable de porter sur sa ville un regard affable, débonnaire et indulgent ! Si tout n’a pas été réussi lors de la Reconstruction (selon Daniel Tintillier), le souvenir de Boulogne des années soixante-dix passé aux filtres affectifs de la jeunesse et de la famille nous en laisse des bribes émues et joyeuses. Avec cependant une question sans réponse (pour l’instant) : qui donc retrouvera une photo de la vitrine des petits singes musiciens de chez Petyt frères ?

 

 

La semaine dans le Boulonnais

Boulogne

CAFÉ LITTÉRAIRE I Un oeil posé sur les années 60

mercredi 30.01.2013, 08:00

Quelle promenade insolite dans le Boulogne d’un autre temps ! Le thème du 65ème Café littéraire du club « Un livre à la mer » tournait autour du nouvel ouvrage de Daniel Tintillier  » Le commerce boulonnais en images – tome 2 – Les Trente glorieuses « .

Dans un recoin de l’Hôtel des Gens de mer se jouait une sacrée partie de devinettes sur les commerces qui avaient élu, un temps, domicile à Boulogne : un lien était fait avec le film « Muriel ou le temps d’un retour », tourné dans la ville dans les années 60, et dont de nombreux plans montraient les rues boulonnaises de l’époque. « Par exemple, on y voit les Nouvelles Galeries, qui s’appelaient au départ Galerie des deux passages, et qui ont duré pile un siècle, de 1904 à 2004 », expliquait le féru d’histoire locale, en compagnie de Lydie George, à l’initiative du café littéraire. On s’apercevait au fil des échanges dans la salle que de nombreuses boutiques ont marqué les esprits, et les regrets d’une époque où la ville était très dynamique se faisaient ressentir. Une sacrée évolution s’est opérée et la ville a tout de même beaucoup changé de visage.

 

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