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Avr 10

66ème café littéraire : le 18 mai, Audrey FERRARO a emmené les marcheurs opaliens sur les chemins de Compostelle!

 

 

Quelle belle personnalité que cette Audrey FERRARO! Son charisme n’a d’égales que son empathie et sa vivacité!

Ce samedi 18 mai, dans les locaux de l’hôtel des Argousiers (Ambleteuse- voir notre lien dans la rubrique dédiée) récemment repris par Jennifer SABA, à la suite de Rémy LEPRETRE qui a pris une retraite bien méritée, le public était bien nombreux, et même plus nombreux que d’habitude. Les chemins de Compostelle intriguent, fascinent, attirent…

 Lors de l’entretien préparé par l’équipe du Livre à la Mer, Audrey FERRARO, jeune Lilloise sportive et décidée, a partagé son chemin avec les auditeurs attentifs.

Dès l’ouverture, Lydie GEORGE a évoqué un absent, auteur régional, qui regrettait de ne pouvoir partager avec l’assemblée…Jacques MAHIEU était sur le Chemin!! Il avait d’ailleurs envoyé à l’équipe une carte postale où en quelques mots, il faisait passer ses essentiels : il allait pleuvoir, mais à part cela tout allait bien.

Hommage à Jacques Mahieu, en route sur le Chemin…

Puis, de nombreux thèmes ont été abordés : la préparation à la marche (bien que l’insouciance doit faire partie de cette préparation affirme Audrey…), la composition du sac à dos (qu’on vide au fur et àmesure des étapes…), les rencontres sur le chemin (les sympas, les belles, les…bruyantes…),  Audrey a évoqué aussi le départ de Saint-Jean-Pied-de-Port, où l’on retire la credencial, passeport du pélerin, et où l’on ne peut plus reculer…

Audrey FERRARO commente la credencial

Il a bien sûr été question des personnages de ce roman aux allures de carnet de voyage. La fin offre au lecteur un jeu d’écriture très surprenant et inédit…Charge à vous de découvrir la surprise…

Audrey FERRARO et Lydie GEORGE

Après 2 heures de discussion, Audrey FERRARO a dédicacé son ouvrage « Un amour de Camino » aux amateurs de lecture…et de marche.

Il faudra désormais choisir son vocabulaire : un randonneur n’est pas un marcheur, qui n’est pas un pélerin lui non plus…

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