L’association Le Livre à la Mer renoue en mai avec ses traditionnels cafés littéraires qui ont permis, il y a quelques temps, de mettre en valeur les auteurs régionaux, et ceux que notre région a inspirés.
Le 14 mai, c’est Luc Tartar qui est invité.
Originaire de l’Audomarois, Luc Tartar est romancier et auteur dramatique. Son dernier roman, « Clémence », est bâti sur une correspondance en 1915 entre son grand-père Fernand et son beau-frère Abel. Fernand est soldat sur le front de Champagne, tandis qu’Abel, soigné pour une grave dépression, est venu passer quelque temps à Wissant, chez sa cousine Valentine Pèpe. Suite à une dispute avec celle-ci, Abel prend une chambre à l’Hôtel des Bains à Wissant, où il meurt le 17 juin 1915. Que s’est-il passé ? Clémence de Pibrac, ancienne meneuse de revue des Folies Bergère et dont Fernand vient de faire la connaissance, propose de venir enquêter elle-même à Wissant…
Luc Tartar est traduit en anglais, allemand, espagnol, persan, polonais, roumain, serbo-croate. Clémence est son troisième roman.
La soirée sera précédée d’une dédicace à l’Hôtel de la Plage, de 15h à 18h.
Et elle se prolongera par un dîner à 20h30 (carbonade flamande maison, ou plat végétarien, dessert et boisson: 28€ / personne. Réservation pour le dîner obligatoire par mail: hoteldelaplage.wissant@gmail.com)
« Clémence, une nouvelle perle littéraire de Luc Tartar. C’est la pudeur qui transpire dans ce nouveau roman de Luc Tartar qui évoque la quête d’une ancienne meneuse de revue, jusque dans la zone occupée du front en 1915… »
Nicolas André, La Voix du Nord.
« On donnera un conseil au lecteur : il faut se laisser porter par l’intrigue tout en restant attentif aux détails… car ces derniers foisonnent : décors, vêtements, odeurs, paysages, description minutieuse de l’avion dans lequel monte l’héroïne… »
Françoise Lapeyre, L’Union dimanche.
« Ce sens du rythme et de la péripétie, Luc Tartar le doit sans doute au fait qu’il écrit également pour le théâtre. Chaque rebondissement est une surprise. A peine un tour est-il terminé qu’il embarque déjà son héroïne tout comme le lecteur dans le prochain manège de la petite fête foraine littéraire qu’il déploie au fil des pages.»
Julien Avril, IO Gazette.